La rémunération des intermédiaires en transaction immobilière, varie sensiblement d’un pays à un autre.
En France, sur le marché de l'immobilier d'habitation, le taux constaté , ce situe généralement entre 3% et 6%, voire au-delà pour les biens dont le prix de vente leur semble relativement faible ; dans ce dernier cas les professionnels proposent généralement un montant fixe d’honoraires.
Juridiquement les honoraires peuvent être mis à la charge soit de l’acquéreur, soit du vendeur.
Mais économiquement il faut bien comprendre que de fait, c’est le vendeur (le mandant) qui supporte le coût de la rémunération du professionnel (mandataire) qu’il a choisi et qui travaille pour lui.
Si vous en doutez, nous serions heureux d'en reparler de vive voix avec vous.
En contrepartie de ses honoraires, l’intermédiaire prend en charge l’intégralité des actions, qu’il doit réaliser pour vendre au mieux de vos intérêts. A ce titre la notion de devoir de conseil est importante. Il doit ainsi vous apporter toute sa valeur ajoutée : connaissance des biens, du marché local et de son évolution, des pratiques, de la législation et de la législation. En cas de manquement ou d’erreur causant un préjudice à son client, il engage sa responsabilité professionnelle, voir extracontractuelle. C’est rassurant pour le vendeur, mais aussi pour l’acheteur.
Nous serions heureux d'en parler de vive voix avec vous.
Les obligations en matière d’information sont toujours plus nombreuses et complexes. Le dossier des diagnostics techniques (DDT) qui doit obligatoirement être réalisé, fournis beaucoup d’information, pas vraiment aisées à bien interpréter, notamment en ce qui concernent : les actions et obligations qui peuvent en découler, ainsi que la responsabilité des parties en cas d’éventuels vices cachés.
Au regard des points qui précèdent, nous pouvons en déduire que certes l’utilisation d’un bon professionnel a un coût certain, mais que si celui-ci fait bien son travail, cela doit vous faire gagner du temps, vous rassurez et également vous éviter du stress et des risques potentiels, et enfin cela doit aussi vous apporter un gain financier.
Par simplification trompeuse, nous parlons de l’agent immobilier, mais c’est en fait un statuts spécifique (défini par la loi), que de nombreux intermédiaires n’ont pas. Et les réseaux d’agences et de mandataires ont beaucoup d’imagination, pour trouver des qualificatifs vendeurs.
L’agent immobilier, il est détenteur d’une carte professionnel, appelée carte T. Il a créé sa société, c’est un chef d’entreprise, avec une assurance professionnelle (RCP). Il peut être indépendant ou faire partie d’un réseau d’agences .
Le salarié d’un agent immobilier (parfois appelé « agent immobilier salarié », conseiller, négociateur, consultant, …) est employé par une agence immobilière. Il agit donc au nom de celle-ci. Comme tous les salariés, il signe un contrat de travail qui définit ses missions.
L’agent commercial, par opposition au commercial salarié, travaille avec une agence mais pas en tant que salarié. Dans les faits il est souvent aussi « un subordonné » et suit les logiques de fonctionnement qui lui sont imposés, par l'agence qu'il représente. Il est inscrit au Registre Spécial des Agents Commerciaux (RSAC) et ne possède pas de carte professionnelle. Il doit avoir établi avec celle-ci un contrat d’agent commercial, qui définit ses missions, le lieu d’exercice de son activité, ainsi que son mode de rémunération.
L’agent indépendant en immobilier est un agent commercial. Il est inscrit au Registre Spécial des Agents Commerciaux (RSAC) et ne possède pas de carte professionnelle, appelée carte T. Souvent affilié à un réseau immobilier, l’agent indépendant en immobilier exerce les mêmes fonctions qu’un agent immobilier salarié travaillant pour une agence immobilière traditionnelle. Étant indépendant, l’agent indépendant en immobilier ne possède pas de local professionnel et travaille de chez lui.
L’agent mandataire en immobilier est inscrit au Registre Spécial des Agents Commerciaux (RSAC) et ne possède pas de carte professionnelle, appelée carte T. Plusieurs options sont possibles : Agent Commercial Immobilier, Agent Commercial Auto-entrepreneur ou Agent Commercial en Entreprise Individuelle à Responsabilité limitée. Bien souvent c’est un Auto-entrepreneur qui gère sa propre entreprise en son nom. Il va décider de ses missions, mais pas de son territoire.
Remarque : le résultat et la rémunération d’un intermédiaire en immobilier dépendra directement de ses performances et du contrat qu’il aura négocié avec l’agent immobilier qu’il représente.
Existe-t-il pour cela une bonne méthode, avec sa check-list ? Pas à notre connaissance, mais à défaut voici deux questions à se poser : Est-ce que l’interlocuteur que est en face de moi, va défendre au mieux mes intérêts ?
Si je souhaitais acquérir un bien immobilier comme celui que je vouhaite vendre, est-ce que je serai suffisamment mis en confiance, par l’interlocuteur qui est en face de moi ?
Simple et efficace.
Cette question est essentielle, tous les vendeurs d’un bien immobilier se la posent. Pour y répondre correctement il faut bien comprendre les paramètres spécifiques à chaque vente, à chaque contexte.
Parlez-nous de votre projet, nous pourrons alors vous répondre de façon détaillée et argumentée.
La rémunération des intermédiaires en transaction immobilière, varie sensiblement d’un pays à un autre.
En France, sur le marché de l'immobilier d'habitation, le taux constaté , ce situe généralement entre 3% et 6%, voire au-delà pour les biens dont le prix de vente leur semble relativement faible ; dans ce dernier cas les professionnels proposent généralement un montant fixe d’honoraires.
En contrepartie de ses honoraires, l’intermédiaire prend en charge l’intégralité des actions, qu’il doit réaliser pour vendre au mieux de vos intérêts. A ce titre la notion de devoir de conseil est importante. Il doit ainsi vous apporter toute sa valeur ajoutée : connaissance des biens, du marché local et de son évolution, des pratiques, de la législation et de la législation. En cas de manquement ou d’erreur causant un préjudice à son client, il engage sa responsabilité professionnelle, voir extracontractuelle. C’est rassurant pour le vendeur, mais aussi pour l’acheteur.
Nous serions heureux d'en parler de vive voix avec vous.
Au regard des points qui précèdent, nous pouvons en déduire que certes l’utilisation d’un bon professionnel a un coût certain, mais que si celui-ci fait bien son travail, cela doit vous faire gagner du temps, vous rassurez et également vous éviter du stress et des risques potentiels, et enfin cela doit aussi vous apporter un gain financier.
Existe-t-il pour cela une bonne méthode, avec sa check-list ? Pas à notre connaissance, mais à défaut voici deux questions à se poser : Est-ce que l’interlocuteur que est en face de moi, va défendre au mieux mes intérêts ?
Si je souhaitais acquérir un bien immobilier comme celui que je vouhaite vendre, est-ce que je serai suffisamment mis en confiance, par l’interlocuteur qui est en face de moi ?
Simple et efficace.
Juridiquement les honoraires peuvent être mis à la charge soit de l’acquéreur, soit du vendeur.
Mais économiquement il faut bien comprendre que de fait, c’est le vendeur (le mandant) qui supporte le coût de la rémunération du professionnel (mandataire) qu’il a choisi et qui travaille pour lui.
Si vous en doutez, nous serions heureux d'en reparler de vive voix avec vous.
Les obligations en matière d’information sont toujours plus nombreuses et complexes. Le dossier des diagnostics techniques (DDT) qui doit obligatoirement être réalisé, fournis beaucoup d’information, pas vraiment aisées à bien interpréter, notamment en ce qui concernent : les actions et obligations qui peuvent en découler, ainsi que la responsabilité des parties en cas d’éventuels vices cachés.
Par simplification trompeuse, nous parlons de l’agent immobilier, mais c’est en fait un statuts spécifique (défini par la loi), que de nombreux intermédiaires n’ont pas. Et les réseaux d’agences et de mandataires ont beaucoup d’imagination, pour trouver des qualificatifs vendeurs.
L’agent immobilier, il est détenteur d’une carte professionnel, appelée carte T. Il a créé sa société, c’est un chef d’entreprise, avec une assurance professionnelle (RCP). Il peut être indépendant ou faire partie d’un réseau d’agences .
Le salarié d’un agent immobilier (parfois appelé « agent immobilier salarié », conseiller, négociateur, consultant, …) est employé par une agence immobilière. Il agit donc au nom de celle-ci. Comme tous les salariés, il signe un contrat de travail qui définit ses missions.
L’agent commercial, par opposition au commercial salarié, travaille avec une agence mais pas en tant que salarié. Dans les faits il est souvent aussi « un subordonné » et suit les logiques de fonctionnement qui lui sont imposés, par l'agence qu'il représente. Il est inscrit au Registre Spécial des Agents Commerciaux (RSAC) et ne possède pas de carte professionnelle. Il doit avoir établi avec celle-ci un contrat d’agent commercial, qui définit ses missions, le lieu d’exercice de son activité, ainsi que son mode de rémunération.
L’agent indépendant en immobilier est un agent commercial. Il est inscrit au Registre Spécial des Agents Commerciaux (RSAC) et ne possède pas de carte professionnelle, appelée carte T. Souvent affilié à un réseau immobilier, l’agent indépendant en immobilier exerce les mêmes fonctions qu’un agent immobilier salarié travaillant pour une agence immobilière traditionnelle. Étant indépendant, l’agent indépendant en immobilier ne possède pas de local professionnel et travaille de chez lui.
L’agent mandataire en immobilier est inscrit au Registre Spécial des Agents Commerciaux (RSAC) et ne possède pas de carte professionnelle, appelée carte T. Plusieurs options sont possibles : Agent Commercial Immobilier, Agent Commercial Auto-entrepreneur ou Agent Commercial en Entreprise Individuelle à Responsabilité limitée. Bien souvent c’est un Auto-entrepreneur qui gère sa propre entreprise en son nom. Il va décider de ses missions, mais pas de son territoire.
Remarque : le résultat et la rémunération d’un intermédiaire en immobilier dépendra directement de ses performances et du contrat qu’il aura négocié avec l’agent immobilier qu’il représente.
Cette question est essentielle, tous les vendeurs d’un bien immobilier se la posent. Pour y répondre correctement il faut bien comprendre les paramètres spécifiques à chaque vente, à chaque contexte.
Parlez-nous de votre projet, nous pourrons alors vous répondre de façon détaillée et argumentée.